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4 mars 2017 6 04 /03 /mars /2017 21:45

Quirinus à Nicomédie

† 3e -4e siècles

 

Se reporter à la notice Photius, Archelaus et Quirinus à Nicomédie

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19 février 2017 7 19 /02 /février /2017 11:52

Quodvultdeus de Carthage

† 454

 

Un certain nombre d’évêques et de prêtres de Carthage et de la région, furent victimes de la persécution des Vandales. Ce fut par exemple le cas des ss.Silvanus, Castrensis et Secundinus (v. 10 et 11 février).

Quodvultdeus («Ce que Dieu veut») est un autre exemple de la même situation.

Vers 421, il était diacre de l’église de Carthage. C’est à cette date qu’il demanda à s.Augustin (v. 28 août) d’écrire un ouvrage sur les hérésies : en effet, le De Hæresibus de s.Augustin est dédicacé à Quodvultdeus.

Vers 437, il fut élu évêque de Carthage, pour succéder à Capreolus. Quelques données étant manquantes, on peut dire seulement qu’il y eut au moins quate évêques avant Quodvultdeus sur le siège épiscopal de Carthage.

En 438-439, lorsque se déchaîna la persécution de Genséric, roi des Vandales, la ville de Carthage fut prise. Genséric chercha de toutes les façons à faire apostasier Quodvultdeus.

Finalement, l’évêque, avec grande partie de son clergé, fut mis à bord d’une embarcation vétuste et sans voiles, qui aurait dû chavirer en pleine mer, mais qui accosta rapidement sur la côte italienne de Campanie.

Quodvultdeus fut certainement reçu fraternellement par ses Confrères, et intégré dans le clergé ; mais aussi il avait alors toute la tranquillité d’écrire son Livre des Promesses et des Prédictions de Dieu ; également, il prit part à la controverse du pélagianisme, qu’il combattit.

On ne connaît pas davantage la date précise de sa mort. On sait que son successeur à Carthage, Deogratias, fut consacré en 454, mais le siège a certainement pu rester vacant un certain temps, à cause de la persécution. On avancera donc prudemment que Quodvultdeus mourut vers les années 444-454, à Naples.

Saint Quodvultdeus de Carthage est commémoré le 19 février dans le Martyrologe Romain.

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12 février 2017 7 12 /02 /février /2017 23:12

Quintus d’Abitène

† 304

 

Voir la notice générale Abitène (Martyrs d’ - 304)

Ce Chrétien était un des quarante-neuf Martyrs de cette ville.

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13 novembre 2016 7 13 /11 /novembre /2016 00:01

Quintien de Rodez

440-525

 

Quintianus était d’origine africaine, de la région de Carthage et a pu naître vers 440.

Il vint en Gaule pour fuir la persécution des Vandales et fut élu évêque de Rodez ; il succédait à Amans (v. 4 novembre), qui fut le premier évêque de cette ville.

On ne connaît pas la date du début de cet épiscopat. Ce fut au moins en 505, puisque Quintien assista au concile d’Agde de 506. Mais il a pu être consacré évêque plus tôt, puisqu’il fit agrandir une église et y fit transférer le saint corps d’Amans, mort en 487. L’épisode doit être raconté.

S.Amans apparut à Quintien et lui reprocha d’avoir osé toucher à son corps, ajoutant : Je t’éloignerai de cette ville… mais tu ne seras pas privé de l’honneur dont tu jouis. On va voir comment cette prédiction se réalisa.

Après le concile d’Orléans (511), Quintien fut menacé par les Wisigoths et dut s’enfuir à Clermont, où l’évêque Eufrasius (v. 14 janvier) l’accueillit très fraternellement. Après la mort d’Eufrasius en 515, Quintien fut une première fois appelé à la succession, qu’il refusa, mais dut ensuite l’accepter sur la volonté du roi Thierry (Théodoric) : il devenait ainsi le quatorzième évêque de Clermont.

L’évêché de Rodez se trouvait alors vacant : Dalmas fut élu, dont on va parler ce même jour.

Mais Quintien n’eut pas la paix dans son nouveau diocèse. Un prêtre, nommé Proculus, réussit à faire retirer à l’évêque tout subside, le réduisant à la dernière pauvreté ; puis la guerre ravagea la contrée ; le seigneur Hortensius fit arrêter un parent de Quintien, pour lequel ce dernier ne put avoir aucun recours : finalement il se vit obligé de maudire la maison d’Hortensius, où plusieurs personnes moururent de fièvre ; terrorisé, Hortensius implora son pardon, que Quintien lui accorda volontiers.

Quintien chassa des démons par sa prière, lorsque ses prêtres n’y avaient pas réussi. 

Lors d’une grande sécheresse, il pria à genoux sur la route et fit venir un grand orage de pluie bienfaisante.

Quintien vécut fort vieux et s’affaiblit au point qu’il n’avait plus la force de cracher, mais il demeurait «bon pied bon œil» et restait fidèle à sa compassion pour les pauvres.

Après sa mort, en 525, beaucoup de miracles se produisirent à son tombeau.  

Saint Quintien de Rodez (ou de Clermont) est commémoré le 13 novembre dans le Martyrologe Romain.

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20 octobre 2016 4 20 /10 /octobre /2016 08:14

Quintin de Meaux

6e siècle

 

Quintin était originaire de Meaux (ou de Paris), d’une famille parisienne.

Il entra au service d’un noble de Tours, un certain Guntrannus (Gontrand), dont l’épouse se nommait Aga.

Cette dernière osa faire des avances au jeune serviteur, comme cela se produisit pour Joseph en Egypte (cf. Ex 39:7…), mais Quintin les refusa énergiquement au nom de la Loi de Dieu : Tu ne commettras pas d’adultère (Ex 20:14).

Furieuse d’avoir été éconduite, Aga fit demander à Quintin d’aller conduire les chevaux auprès de l’Indre, mais ordonna secrètement aux domestiques de le décapiter.

Ayant obéi à Aga, les bourreaux jetèrent la tête du Martyr dans une fontaine, qui devint miraculeuse.

Cette histoire a peut-être reçu quelques ajouts, mais son fond demeure historique, et le culte de Quintin s’est assez répandu, jusqu’à Meaux où reposent ses reliques.

Saint Quintin de Meaux est commémoré le 4 octobre dans le Martyrologe Romain.

 

 

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15 février 2016 1 15 /02 /février /2016 00:08

Quinidius de Vaison

† 579

 

Quinidius vint au monde à Vaison-la-Romaine (act. Vaucluse).

Ses parents eurent la bonne inspiration de le confier à des ecclésiastiques, qui l’orientèrent dans les voies du Seigneur. Quinidius était modeste, doux, chaste.

Il se fit d’abord ermite près de Toulon, puis à l’abbaye de Lérins.

Il est dit que l’évêque de Vaison en fit son archidiacre et se fit représenter par lui au concile d’Arles de 552.

Quinidius devint alors le coadjuteur de l’évêque Theodosius (v. 14 février) et lui succéda en 556, comme quinzième évêque de Vaison, toujours plus humble et plus doux.

Il participa à deux conciles de Paris en 557 et 573. Celui de 557 faisait suite à une disposition du roi Childeric Ier contre le culte des idoles et à l’élection de s.Germain au siège de Paris (v. 28 mai) ; celui de 573 en revanche eut lieu après l’élection de Grégoire de Tours (v. 17 novembre).

Lorsque le comte d’Auxerre, Mommol, qui avait repoussé les Lombards, passa à Vaison et célébrait sa victoire, Quinidius ne voulut pas ajouter à l’orgueil de Mommol et évita de venir le saluer. Mommol en fut terriblement vexé et accabla d’injures l’évêque. Quinidius ne répondit rien, mais Mommol fut pris d’un mal violent en sortant de Vaison, et Quinidius pria pour sa guérison : Mommol alors se repentit de sa gloriole et offrit de riches présents à l’évêque.

Quinidius mourut vers 579.

Saint Quinidius est commémoré le 15 février au Martyrologe Romain, lendemain de la commémoraison de son prédécesseur Theodosius.

Le diocèse de Vaison a été rattaché à celui d’Avignon ; il demeure le siège d’un évêché titulaire, dont le titre peut s’attribuer à un évêque démissionnaire.

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31 octobre 2014 5 31 /10 /octobre /2014 00:00

  

Quentin

3e siècle

 

Quentin, en latin Quinctinus («le petit cinquième»), était le fils d’un sénateur romain. 

Chrétien, il fut envoyé en Gaule de concert avec saint Lucien pour évangéliser le nord du pays. Tandis que Lucien restait à Beauvais (où il recevra le martyre

), Quentin se dirigea sur Amiens.

C’est là que Quentin sera dénoncé à un tristement célèbre préfet militaire, persécuteur infatigable, Rictiovarus de son nom. Voici le dialogue qu’on en a rapporté :

 

« Comment t'appelles-tu ? lui demande Rictiovarus. 

- Je m'appelle Chrétien. Mon père est sénateur de Rome ; j'ai reçu le nom de Quentin. 

- Quoi ! un homme de pareille noblesse est descendu à de si misérables superstitions ! 

- La vraie noblesse, c'est de servir Dieu ; la religion chrétienne n'est pas une superstition, elle nous élève au bonheur parfait par la connaissance de Dieu le Père tout-puissant et de son Fils, engendré avant tous les siècles.

- Quitte ces folies et sacrifie aux dieux. 

- Jamais. Tes dieux sont des démons ; la vraie folie, c'est de les adorer. 

- Sacrifie, ou je te tourmenterai jusqu'à la mort. 

- Je ne crains rien ; tu as tout pouvoir sur mon corps, mais le Christ sauvera mon âme. »

 

Quentin fut torturé, puis décapité. 

D’après saint Grégoire de Tours

, le corps de saint Quentin fut jeté dans la rivière, et retrouvé par une pieuse aveugle, qui depuis lors fut guérie de sa cécité.

Saint Eloi

, l’évêque de Noyon, affirma avoir retrouvé les reliques du Martyr, au 7e siècle.

Saint Quentin fut donc martyrisé à Augusta Veromandorum, devenue par la suite Vermand, capitale du Vermandois, et maintenant la belle ville de Saint-Quentin.

Sa fête est au 31 octobre.

 

 

 

1 Saint Lucien est fêté le 8 janvier.

2 Saint Grégoire de Tours est fêté le 17 novembre.  

3 Saint Eloi est fêté le 1er décembre. 

Quentin

3e siècle

 

Quentin, en latin Quinctinus («le petit cinquième»), était le fils d’un sénateur romain. 

Chrétien, il fut envoyé en Gaule de concert avec saint Lucien pour évangéliser le nord du pays. Tandis que Lucien restait à Beauvais (où il recevra le martyre, voir au 8 janvier), Quentin se dirigea sur Amiens.

C’est là que Quentin sera dénoncé à un tristement célèbre préfet militaire, persécuteur infatigable, Rictiovarus de son nom. Voici le dialogue qu’on en a rapporté :

 

« Comment t'appelles-tu ? lui demande Rictiovarus. 

- Je m'appelle Chrétien. Mon père est sénateur de Rome ; j'ai reçu le nom de Quentin. 

- Quoi ! un homme de pareille noblesse est descendu à de si misérables superstitions ! 

- La vraie noblesse, c'est de servir Dieu ; la religion chrétienne n'est pas une superstition, elle nous élève au bonheur parfait par la connaissance de Dieu le Père tout-puissant et de son Fils, engendré avant tous les siècles.

- Quitte ces folies et sacrifie aux dieux. 

- Jamais. Tes dieux sont des démons ; la vraie folie, c'est de les adorer. 

- Sacrifie, ou je te tourmenterai jusqu'à la mort. 

- Je ne crains rien ; tu as tout pouvoir sur mon corps, mais le Christ sauvera mon âme. »

 

Quentin fut torturé, puis décapité. 

D’après saint Grégoire de Tours (voir au 17 novembre), le corps de saint Quentin fut jeté dans la rivière, et retrouvé par une pieuse aveugle, qui depuis lors fut guérie de sa cécité.

Saint Eloi (voir au 1er décembre), l’évêque de Noyon, affirma avoir retrouvé les reliques du Martyr, au 7e siècle.

Saint Quentin fut donc martyrisé à Augusta Veromandorum, devenue par la suite Vermand, capitale du Vermandois, et maintenant la belle ville de Saint-Quentin.

Sa fête est au 31 octobre.

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26 août 2014 2 26 /08 /août /2014 23:00

Quirino Díez del Blanco

1889-1936

 

Quirino vit le jour le 25 mars 1889 à La Mata de Monteagudo (León, Espagne).

Entré chez les Capucins, il prit l’habit en 1904 et le nom de Gregorio.

Après la profession (1905), il fut ordonné prêtre (1914) et nommé professeur à El Pardo (Madrid).

Lors des hostilités de 1936, les Religieux se croyaient suffisamment en sécurité, sur la parole du colonel. Mais le 20 juillet, ils entendirent le canon qui détruisait El Cuartel de la Montaña, puis virent les flammes qui envahissaient Madrid.

Le 21 juillet, des centaines de miliciens attaquèrent le couvent et tirèrent par toutes les fenêtres, au moment du déjeuner ; il y avait jusqu’à deux cents personnes présentes dans le couvent.

Ce fut ensuite un long calvaire pour les Religieux.

Les miliciens voulaient les pendre aux arbres voisins ; ils en furent empêchés. 

Le père Gregorio réussit à s’échapper et à se cacher, mais fut vite repéré et arrêté. En prison, son état de santé le fit libérer. Mais on découvrit sa condition de prêtre Capucin ; on le reprit, on l’emmena à l’Alto del Hipodromo, où on lui tira des balles dans le dos. 

Il reçut la palme du martyre à Madrid le 27 août 1936 et fut béatifié en 2013.

 
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29 avril 2014 2 29 /04 /avril /2014 23:00

 

Quirin

 †  125  

 

Saint Quirin était tribun des soldats sous l’empereur Adrien et le comte Aurélien, et fut chargé de garder Hermès, préfet de Rome, que l’évêque Alexandre avait converti au christianisme. 

 

Il tenta d’amener Hermès à reprendre sa charge, mais le contraire arriva : ce furent Quirin, puis Balbine, fille de Quirin, puis toute la famille qui se convertirent et furent baptisés par Alexandre. 

 

A cette nouvelle, Aurélien les fit arrêter tous. Quirin comparut devant le tribunal du comte, confessa courageusement le nom de Jésus-Christ et, après divers tourments, fut décapité. Balbine subit le même sort. 

 

Les chrétiens recueillirent les corps du père et de la fille, et les ensevelirent dans le cimetière de Prétextat sur la voie Appienne. C’était vers 120 ou 130, d’où la date approximative écrite dans le titre de cette notice.

 

Pendant longtemps, les textes ont ignoré les martyrs Quirin et Balbine, mais des témoignages monumentaux semblent bien accréditer la tradition du tombeau dans le cimetière de Prétextat.

 

La date elle-même du 30 avril n’est pas certaine ; on avait commémoré autrefois Quirin et Balbine aux 30 et 31 mars. Mais en 1050, le pape saint Léon IX remit le corps du Saint tribun à sa sœur Gépa, abbesse de Neuß, et la translation s’est opérée le 30 avril, date à laquelle maintenant est mentionné Quirin et sa fille dans le Martyrologe Romain.

 

C’est aussi la raison pour laquelle s.Quirin est le principal patron de Neuß, et reçoit un honneur particulier dans la région de Cologne.

 

Saint Quirin est invoqué contre la paralysie, les maux de jambes, les maux d’oreilles.

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2 mars 2014 7 02 /03 /mars /2014 00:00

Quintus (Cointus)

 † 283

 

Quintus naquit en Phrygie (Asie Mineure, actuelle Turquie O). 

Plus tard venu en Eolide (autre région d’Asie Mineure), il y montra une tendre compassion pour les indigents. 

Au temps de l’empereur Aurélien, le préfet Rufus voulut obliger Quintus à sacrifier aux idoles, mais tombé en la possession du démon, il dut sa délivrance aux prières de sa victime, et, par reconnaissance, lui rendit la liberté. En même temps, ceux qui se trouvaient dans le temple des idoles, effrayés par un tremblement de terre qui ébranla l’édifice et renversa les statues, prirent la fuite, sans s’occuper davantage de Quintus. 

Quarante jours après ces événements, un nouveau préteur, idolâtre fanatique, succéda à Rufus, fit saisir de nouveau Quintus et donna l’ordre de lui briser les jambes. Dieu, qui protégeait son fidèle serviteur, le guérit instantanément. 

Après ce miracle, dix années s’écoulèrent pendant lesquelles le saint homme parcourut la région, guérit toutes sortes de maladies, procura des ressources aux pauvres. Il mourut dans cet exercice de la charité. 

Le supplice ayant eu lieu en 272, on peut placer la mort vers 283.

Certains épisodes de ce martyre se retrouvent souvent dans d’autres vies de martyrs, ce qui fait penser à certains qu’ils ont pu être sinon inventés, du moins édulcorés. Mais il faut se rappeler que dans les premiers siècles, Dieu multipliait les signes de sa présence par les actes de ses apôtres et de ses saints, pour prouver aux populations sa puissance.

Les Grecs parlent souvent de ce Quintus dans leurs fastes, le surnommant Thaumaturge, terme repris dans un ménologe édité par Canisius : miraculorum effector.

Le ménologe de l’empereur Basile le mentionne au 2 mars, ce qu’a repris le Martyrologe Romain. 

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