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10 août 2014 7 10 /08 /août /2014 23:00

Armando Óscar Valdés

1891-1936

 

Armando vit le jour le 15 janvier 1891 à La Havane (Cuba).

Il entra en 1913 dans l’Ordre des Hospitaliers de Saint-Jean-de-Dieu à Ciempozuelos et prit le nom de Jaime.

Il exerça dans les deux communautés de Ciempozuelos et San Rafael (Madrid). En 1920, il fut envoyé en Colombie, où il fut supérieur à Bogotá (1928-1931).

Revenu en Espagne, il fut sous-directeur à Barcelone (1931) et passa à Valencia, pour s’occuper de la pharmacie et de la lingerie.

Après la fouille du 7 août 1936, il fut réveillé en pleine nuit ainsi que le Supérieur, par les anarchistes, et tous deux furent fusillés non loin de l’hôpital, le 11 août 1936.

Frère Jaime fut béatifié en 2013.

 
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9 août 2014 6 09 /08 /août /2014 23:00

Antonio González Penín

1864-1936

 

Antonio vit le jour le 1er mars 1864 à San Salvador de Rabal (Orense, Espagne), de Ramón et Josefa, qui le firent baptiser le lendemain.

Entré dans l’Ordre des Mercédaires Déchaux à Toro en 1887, il fit le noviciat, la première profession en 1888 et les vœux solennels en 1891.

Il se trouvait à Herencia ; mais il demanda à passer dans la branche des Mercédaires Chaussés et refit, à El Olivar, la vêture, le noviciat, la profession (1896-1897).

On lui confia la porterie, la sacristie, la couture, et surtout la cuisine.

En 1899 il passa successivement par les couvents de San Ramón, Lleida, El Olivar, Lleida ; en 1900 : El Olivar, où il fit la profession solennelle, et resta six ans.

Sur la table de sa cellule, il conservait un crâne, pour apprendre dans le livre de la mort.

En 1906, il fut envoyé à Palma de Maiorque, où il gérait avec deux autres Frères la sacristie, la cuisine et le poulailler. 

A partir de 1907, il fut souffrant et dut recevoir divers traitements : une opération à l’abdomen, une cure au vin blanc, des bains chauds, extraction d’une molaire ; en outre, une jambe le faisait beaucoup souffrir et malgré cela, il continuait son travail, les courses pour la communauté, sans jamais se plaindre.

En 1921, il partit pour Barcelone. Il souffrait de plus en plus de rhumatismes aux jambes et ne restait dans sa chambre que sur ordre médical, sinon il se levait chaque jour pour faire les courses, préparer les repas et de toutes façons participer à tous les exercices communs.

Les dernières années, il sortait vêtu civilement, mais sa dignité le signalait aussi bien.

Contraint d’abandonner le couvent en juillet 1936, réfugié chez des amis, il aperçut en pleurant la profanation des saintes images et de tout le mobilier de son cher couvent, particulièrement quand on brûla sur la place publique le cadre de Notre-Dame de la Merci.

Comme les miliciens perquisitionnaient les maisons, il trouva à loger chez un prêtre pendant une quinzaine de jours.

Le 9 août, au soir, des miliciens vinrent chercher deux curés. Le Frère se présenta comme Religieux mercédaire ; quand on lui demanda où étaient les autres, il répondit en vérité qu’il n’en savait rien, et reçut alors mille injures, obscénités et coups à la tête et sur tout le corps ; l’autre prêtre fut maltraité de la même façon. 

Fatigués, les miliciens se retirèrent, tout en les menaçant ; une demi-heure après revinrent d’autres jeunes gens, qui recommencèrent les insultes et les coups, puis les emmenèrent. Il était deux heures du matin, du 10 août 1936.

On retrouva les deux cadavres à la morgue, méconnaissables. Le Frère Antonio avait été particulièrement maltraité : il portait des traces de coups d’arme à feu, la bouche détruite, un œil arraché, les jambes fracturées, les parties génitales sectionnées, le thorax enfoncé.

Frère Antonio fut béatifié en 2013.

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 23:00

Antonio Mateo Salamero

1864-1936

 

Antonio vit le jour le 24 septembre 1864 à Torres del Obispo (Huesca, Espagne).

Prêtre, il appartenait au diocèse de Madrid.

C’était l’aumônier des Frères des Ecoles Chrétiennes à Griñon (Madrid), où il avait été nommé en 1929.

Il fut martyrisé à Torrejon de la Calzada (Madrid) le 9 août 1936 et béatifié en 2013.

 

 

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 23:00

  

Alfonso Antonio Ramírez Salazar

1913-1936

 

 

Né à La Ceja (Antioquia, Colombie) le 2 septembre 1913, Alfonso entra chez les Frères Hospitaliers de Saint-Jean-de-Dieu en 1932, où il fit la profession en 1933, prenant le nom de Eugenio.

Son premier «poste» fut d’être responsable de nuit à l’hôpital psychiatrique Notre-Dame de la Merci, à Bogotá.

Venu en Espagne pour compléter sa formation, il était à Ciempozuelos.

Il fut assassiné le 9 août 1936 et béatifié en 1992.

(On trouvera les détails de l’arrestation et de la mort des sept Frères dans la notice «Hospitaliers de Ciempozuelos».

 


 

 

 

 

  

Alfonso Antonio Ramírez Salazar

1913-1936

 

Né à La Ceja (Antioquia, Colombie) le 2 septembre 1913, Alfonso entra chez les Frères Hospitaliers de Saint-Jean-de-Dieu en 1932, où il fit la profession en 1933, prenant le nom de Eugenio.

Son premier «poste» fut d’être responsable de nuit à l’hôpital psychiatrique Notre-Dame de la Merci, à Bogotá.

Venu en Espagne pour compléter sa formation, il était à Ciempozuelos.

Il fut assassiné le 9 août 1936 et béatifié en 1992.

On trouvera les détails de l’arrestation et de la mort des sept Frères Hospitaliers dans la notice Hospitaliers de Ciempozuelos

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7 août 2014 4 07 /08 /août /2014 23:00

Antonia Riba Mestres

1893-1936

 

Née à Igualada (Barcelone) le 8 octobre 1893, Antonia entra dans la congrégation des Ecoles Pies.

Au jour de sa profession (1919), elle prit le nom de Clemencia de Saint-Jean-Baptiste.

Après un court séjour à Saragosse, elle fut envoyée au collège de Valencia.

Elle et ses quatre compagnes quittèrent le collège le 22 juillet 1936, et cherchèrent refuge chez le chauffeur du collège.

Le 8 août suivant, à cinq heures du matin, la maison fut assaillie : on dit aux Religieuses qu’elles avaient été dénoncées et qu’elles devaient aller se faire enregistrer au gouvernement civil.

Une voiture les attendait à la porte, mais au lieu de se rendre au siège du «gouvernement», on les conduisit sur la plage du Saler de Valencia, où elles furent fusillées.

C’était le 8 août 1936.

Les cinq Religieuses furent béatifiées en 2001.

 

 

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7 août 2014 4 07 /08 /août /2014 23:00

Antonio Silvestre Moya

1892-1936

 

Né le 26 octobre 1892 et baptisé le même jour à La Ollería (Valencia), Antonio était le fils d’un chef de la Garde Civile.

Après l’école communale, il entra aux séminaires de Valencia, le Petit puis le Grand, et fut ordonné prêtre en 1915. Il fut reçu Docteur en théologie.

Ses postes successifs furent : vicaire à Calpe, à Cuatretonda, en 1920 curé à Otos puis en 1930 à Fuente la Higuera. En 1934, il fut curé à Santa Tecla de Játiva.

A Otos, il commença la restauration de l’église et développa le culte envers la relique de la Vraie Croix ; à Fuente la Higuera, il développa le culte à Notre-Dame du Rosaire ; à Játiva, il eut le soin de préserver les reliques du Serviteur de Dieu Andrés Garrido et développa le culte envers l’Ecce-Homo.

Au début du mois d’août 1936, toutes les églises de Játiva furent incendiées et le bon curé dut entrer dans la clandestinité, sans pour autant cesser de visiter les malades et de célébrer chez lui.

Le 7 août, premier vendredi du mois, il porta le tabernacle avec la Présence réelle au sous-sol et, à genoux, répéta sa consacration au Sacré-Cœur, offrant sa vie.

Le soir, des miliciens se présentèrent et, malgré les protestations de la famille, enlevèrent le prêtre. Ils le portèrent au port de Cárcer, avec un autre prêtre (Fernando Gimeno) où ils leur tirèrent plusieurs coups. Don Fernando mourut, tandis que don Antonio, gravement blessé, se traîna jusqu’à Llosa de Ranes, où on le soigna.

Mais au matin suivant, 8 août, les miliciens, avertis, revinrent à la charge. Ils mirent le prêtre blessé dans une voiture et partirent pour El Saler (Valencia) ; en partant, le prêtre fit le signe de la Croix, disant qu’il pardonnait à tous.

Arrivés à l’endroit en question, ils l’abattirent.

Antonio Silvestre Moya fut béatifié en 2001.

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7 août 2014 4 07 /08 /août /2014 23:00

 

Saints Auxiliateurs

 

Le Moyen-Age finissant honorait les Saints beaucoup plus à cause de la puissance qu’on leur prêtait qu’en raison de leurs vertus. Certains Saints auxquels on avait plus souvent recours furent groupés, honorés ensemble et très souvent représentés les uns avec les autres.

Eustache Deschamps († vers 1407) énumère dix Saints dont le secours est particulièrement efficace : 

 

Saint Denis, saint Georges, saint Blaise

Saint Christofle et aussi saint Gile,

Saincte Catherine, il vous plaise,

Saincte Marthe et saincte Christine,

Saincte Barbe et saincte Marguerite,

Avoir toujours de moi mémoire,

Ainsi comme il est chose voire (vraie)

Que Dieux à vous X octroya

Que quiconque vous requerra,

De bon cuer, par prière honneste,

En quelque péril qu’il veurra,

Dieux essaucera sa requeste.

Nous retrouvons huit de ces dix noms dans les quatorze Saints Auxiliaires (ou Auxiliateurs), c’est-à-dire dont on peut attendre un secours (auxilium) prompt et efficace. Leur grande vogue date seulement du 15e siècle. L’origine de cette dévotion est germanique : elle se répandit tout le long du Rhin et en Italie. En France, on ajouta la Vierge Marie et le groupe fut de quinze.

La fête était concédée en plusieurs contrées, au 8 août, au 4e dimanche après Pâques, etc… Tous ces Saints, que la légende n’a pas oubliés, sont traités à leurs jours respectifs ; rappelons seulement ici leurs emblèmes et leurs «spécialités», dans l’ordre du calendrier.

Saint Blaise (3 février) porte deux cierges croisés et guérit les maux de gorge.

Saint Georges (23 avril) : près d’un dragon qu’il a terrassé, guérit les maladies dartreuses, et protège les militaires, les boy-scouts.

Saint Acace (8 mai), couronné d’épines, est invoqué pour les maux de tête.

Saint Erasme (2 juin), qui tient ses entrailles enroulées sur un treuil, est tout indiqué pour les douleurs d’entrailles.

Saint Guy ou Vit (15 juin), est invoqué contre la «danse de saint-guy», contre l’épilepsie.

Sainte Marguerite d’Antioche (21 juillet) conduit en laisse un dragon et porte une petite croix  : elle est invoquée contre les maux de reins et par les futures mamans.

Saint Christophe (25 juillet), qui porte l’Enfant Jésus, protège les voyageurs contre la mort subite, les tempêtes ou la foudre.

Saint Pantaléon (27 juillet), aux deux mains clouées, est invoqué pour les maladies de consomption.

Le diacre saint Cyriaque (8 août) est, lui aussi, puissant contre le démon et il s’occupe des maladies des yeux.

Saint Gilles (1er septembre), accompagné d’une biche, apporte la paix aux fous et à ceux qui sont sujets à la panique ou aux frayeurs nocturnes ; on l’invoque aussi contre le cancer et la stérilité des femmes.

Le chasseur saint Eustache (20 septembre) préserve de l’incendie et du feu éternel.

Saint Denys (9 octobre) marche avec la tête dans ses mains et préserve de la possession diabolique.

Sainte Catherine d’Alexandrie (25 novembre), enfin, reconnaissable à la roue qu’elle brisa, est la «sage conseillère» des philosophes, des avocats et des penseurs ; également des vierges et des métiers liés à la roue (charrons, meuniers, tourneurs).

Sainte Barbe (4 décembre), à côté d’une tour, garantit de la foudre et de la mort subite ; elle est aussi la patronne des mathématiciens, des artilleurs et des pompiers.

 
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7 août 2014 4 07 /08 /août /2014 23:00

Antero Mateo García

1875-1936

 

Parmi les quelque dix-mille Martyrs qui versèrent leur sang pour leur foi lors de la révolution espagnole de 1936, il n’y eut pas que des prêtres et des religieux. 

Il y eut des laïcs. L’un de ceux-là fut notre Antero, né le 4 mars 1875, baptisé deux jours après avec les noms de Antero, Marcelino Lucio, et confirmé en 1887. C’était l’aîné d’une fratrie de neuf enfants.

En 1902, il épousa Manuela Trabadelo Malagón, avec laquelle il eut huit enfants, dont un Dominicain et une Carmélite déchaussée.

Il était né à Valdevimbre (León) ; avec son épouse, il vécut à Cembranos (León), mais dut s’installer ensuite à Barcelone en 1916, où il fut employé des chemins de fer du Nord.

Les deux époux furent membres du Tiers-Ordre dominicain ; Antero participa à l’Adoration nocturne du Saint-Sacrement ; il participa aux pèlerinages de malades à Lourdes, où il fut brancardier. A Barcelone, il prenait aussi du temps pour visiter des malades.

En juillet 1936, on vint fouiller chez lui. Il devait certainement avoir quelques images pieuses et quelques crucifix à ses murs…

Toujours est-il que le 6 août, il vint attendre en gare son épouse, sa fille carmélite et quelques autres religieuses en provenance de Valencia. On l’arrêta ; au bout de quelques heures, sa famille obtint sa libération.

Il reçut l’ordre de rejoindre son travail habituel à la gare du Nord, mais le 8 août, il ne revint pas au foyer.

A la tombée de la nuit, des miliciens vinrent le tirer brutalement de l’endroit où il travaillait, le conduisirent à Sant Andreu de Palomar (Barcelone) et, sous le pont du Dragón, le fusillèrent pour sa foi courageuse.

Ce 8 août 1936, Antero recevait la récompense éternelle de sa fidélité au Christ.

 

Il fut béatifié en 2007.

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6 août 2014 3 06 /08 /août /2014 23:00

Antonia Adrover Martí

1888-1936

 

Antonia naquit le 22 juillet 1888 à San Roque (Cádiz, Espagne), aînée de trois autres garçons, dont le père travaillait dans la marine. Antonia fut baptisée le 27 juillet, et confirmée l’année suivante.

La famille fut à Vilanova i la Geltrú (Barcelone), Tortosa (Tarragona), Villajoyose (Alicante, de 1896 à 1915).

Ces enfants furent tôt orphelins de père et mère. Antonia fit partie des Filles de Marie et de la confraternité du Carmel.

En 1915, elle se fixa à Barcelone, comme couturière, et au service des Comtes de Güell.

En 1920, elle entra chez les Dominicaines de Sainte-Catherine-de-Sienne (aujourd’hui réunies aux Dominicaines Enseignantes de l’Immaculée) et fit la profession en 1922, avec le nom de María Rosa.

On lui confia les classes des petites filles, et l’office de sacristine. Excellente pédagogue, elle eut une influence durable sur toutes les élèves.

Dès le 18 juillet 1936, la communauté dut se disperser et les Religieuses furent accueillies par des familles parentes ou bienfaitrices.

Antonia (María Rosa) se retrouva avec sa consœur María Carmen Zaragoza i Zaragoza, priant toute la journée pour la conversion des persécuteurs de l’Eglise, et se préparant à l’heure du martyre.

Le 7 août, la prieure leur rendit visite et leur remit une certaine somme d’argent pour pouvoir rejoindre Valencia.

Le danger se faisant plus imminent, elles jugèrent bon de partir tout de suite et sortirent dans la rue. Mais on les arrêta peu après, on les conduisit par la route de Molins de Rei jusqu’à Vallirana (Barcelone), où on les fusilla dans le bois de Lladoner, au soir de ce 7 août 1936.

 

Elles furent béatifiées en 2007.


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5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 23:00

Andrés Soto Carrera

1883-1936

 

 

Andrés vit le jour le 29 juin 1883 à Puerto de Santa María (Séville, Espagne), de Andrés et Genoveva, qui le firent baptiser le 26 juillet avec les noms de Anastasio Andrés Marcelo Pedro Trinidad.

Il étudia au collège séraphique (franciscain) et entra chez les Capucins en 1898, avec le nom de Gil.

Il fit la profession simple en 1899, la solennelle en 1905, et fut ordonné prêtre en 1907.

Il eut plusieurs fonctions importantes, qu’il exerça avec un esprit d’obéissance totale envers les Supérieurs. Il fut professeur, aumônier, maître des novices, secrétaire provincial, définiteur provincial. Très travailleur, très effacé, il alla au-devant du martyre sans trembler.

Quand les miliciens forcèrent les portes du couvent d’Antequera et firent sortir les Religieux, il fut le premier à sortir, priant son bréviaire, et fut abattu sur la place, devant le monument à l’Immaculée, le 6 août 1936.

Il fut béatifié en 2013.

 

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